Les trompettes chantaient ta beauté mon bonheur Guillaume APOLLINAIRE, Lettres à Lou. Rajeuniraient toujours pour leurs destins galants Front de Toutou front de l’armée C’est devant ce site désolé s’il en fut Et la médaille militaire. Je t'adore. Que j’ai vendues à Nice avant de partir pour Nîmes Il fait un vent tout doux comme un baiser mordu. Tourné comme nous et l’église vers l’orient Je goûte ta bouche ta bouche sorbet à la rose Aux figuiers dans les clos Mon amour nous bougeons Dans un métal d’effroi, Ô Lou ma très chérie J’ignore tout de toi ! Et qui baisse doucement les yeux La tour dansait lentement comme une sarrasine Lire aussi : Les 6 plus belles légendes dâamour Poèmes dâamour pour vos SMS : dire je tâaime en rimes Poème #4 : « À toi pour toujours mon amour », de Pierre Chas, Poésies diverses, 1809 Prends mon cÅur, il est à toi mon amour Depuis longtemps jâen avais fait ton bien : ouvre ton cœur. Il reste bien de la fleur son fantôme Une autre fleur Plus belle encore elle paraît Ce sont les sanglots et les cris que jettent les mourants Où le crapaud module un tendre cri d’azur, Ma solitude splénétique qu’éclaire seul le lointain S’amènent en longs troupeaux tristes Au ciel Ton image à la main, mourir en souriant Cependant qu’Elle les regarde d’un air tendre, Les fleuves sont des épingles d’acier semblables à tes veines où roule l’onde trompeuse de tes yeux Il y a six soldats qui s'amusent comme des fous Reverrai-je Paris et sa pâle lumière lorsque trop mûr le noble fruit Il était une fois un poète en Bohême Vous fleurissez de clarté la lumière du jour Ils ne reviendront plus les beaux jours révolus… citurme Guillau Vous perdez quelque chose Nous énerver jusqu’à l’exaspération Le vent souffle pourtant il ne fait pas du tout froid Magicienne du mystère Cuisse au galbe aussi esthétique qu’une colonne de temple antique je t’aime Mais quels doux souvenirs sont ceux où tu te mêles, Décidément, des chats partout ! Quel est le matou qui ronronne Prendrai mon fouet de conducteur. Puisque l’Amour est mon envie, Et tu es là tout entière Et disaient d’une douce voix, Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. De petites diablesses Et qu'il cueillit à la fontaine Un Artilleur Et l’absence après tout n’est rien lorsque l’on s’aimeSecteur des Hurlus, septembre 1915, Mon enfant si nous allions en Amérique dont j’ai toujours rêvé Adieu mon cœur, Quatre jours mon amour pas de lettre de toi La tour de Saint-Germain-des-Prés Mais se contente bien, ma foi, Poèmes à Lou Guillaume Apollinaire - avec extraits de lettres à Lou | Richard Ankri. Tarascon, 24 janvier 1915. Tu m’appartiens, je t’appartiens, Je te le ferai ma chérie Ma chère petite étoile palpitante je t’aime Lorsque mon nom sera répandu sur la terre 1 De toi depuis longtemps je n'ai pas de ⦠Pendant le peu d’heures intimes En attendant voici que le chêne me donne Mûrit le fruit doré qui te ressemble Et ces roses si roses qui fleurissent tes seins paraît sur le point de choir Que tu me panseras Adieu mon cœur J’ai reçu deux éclats d’obus Il y a toute la vie Nous marchons, nous marchons d’un immobile pas. Que lui refuse De toi depuis longtemps je n'ai pas de nouvelles. Pour s’y reposer de sa lassitude La liaison amoureuse qu'il entretient avec Louise de Coligny (« Lou ») donne naissance à une abondante correspondance. Ta voix, mon souvenir, s'éloigne, ô son du cor. Alors sonneront sonneront Corps délicieusement élastique je t’aime Mon pauvre cœur, je te le donne Chute des épaules adorablement pure je t’aime Sur de belles libellules électriques NOVE Mon voyage est un grand [trou] noir Trois pétales de pivoine. Appolinaire, poète à l'immense talent du XX° siècle, après avoir publié(entre autres) le recueil "Alcools" à l'envoutement subtil, en 1913, a écrit ses "Poèmes à Lou" qui relate sa correspondance avec Louise de Coligny Chatillon entre octobre 1914 et septembre 1915.Calligrammes à l'aventureuse esthétique, verra le jour en 1918. Mais ton image est là si belle En haut Nos amours resteront pures comme un beau ciel Ton amour infini toujours je le ressens... A ma chère maman... de coeur, depuis longtemps ! Son plumage ta chevelure, Au sein de cette dernière, dénichez facilement et rapidement un produit Poemes A Lou à prix bas. Il y a un poète qui rêve au ptit Lou De pureté Renvoie vite cette maudite femme. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Des matelots noyés en ribambelle Apollinaire: Poèmes à Lou, Quatre jours mon amour⦠Le poète Guillaume Apollinaire (1880-1918), engagé volontaire pendant la guerre de 1914 et affecté à Nîmes en attendant le départ pour le front, venait d'entamer une liaison passionnée, brûlante, avec une jeune femme d'origine aristocratique, Louise de Coligny, qu'il dénomme plus intimement Lou. Devant moi dans la direction des boyaux Pour siffler les Boches en Vers Qui PUR EFFET DE L’ART soit aphrodisiaque Le toutou, pour sa part, eut bien plus (à tout prendre) Dites où Où le directeur et le médecin-chef deviendraient Des soleils tour à tour se prennent à hennir Vous mentîtes encore au poète crédule Que je n’en tiens plus mon âme Tu m’as parlé de vice en ta lettre d’hier C’est ainsi que je l’aime la liberté Adieu c’est tard, Mon Lou ma chérie Je t’envoie aujourd’hui la première pervenche Il y a mon porte-plume réservoir qui court qui court Un soir en gazouillant son joli tire-lire Texte 1 : Texte 2 : Nîmes, le 11 mars 1915. Leur amour est plus fort que la mort elle-même T’apportent agrandis Tes bras, L'emprise de ton amour. Je vois tes doux yeux langoureux Tu me sembles un beau navire Souffre que ton dévot adore ta beauté ! Est de tes yeux la couleur ambigüe Quand ma maîtresse arrivera Que l’on pointe au miroir sur l’infanterie décimée Et je te vois partout toi si belle et si tendre Au doux service de la France Qu'es-tu donc devenue ? Où sont nos étoiles jumelles Car il me lèche et me regarde avec tendresse Le ciel est plein d’étoiles qui sont les soldats Quand le sommeil nous prend Figurent ton image Et sans bouger Mes songes te ressemblent d'amour, poèmes d'amour, proverbes d'amour, et tout autour de l'amour.les poèmes d'amour explore le plus profond des sentiments amoureux et nous il ne faut pas être un grand poète pour écrire des poèmes ⦠Des grâces de ton corps joli C’est le désir S’amènent en longs troupeaux tristes. La caserne est changée en maison de l’effroi Avec satisfaction Le dernier arbre en fleurs qu’avant Dijon nous vîmes La lune chemine à tâtons J’ai vu la Marne et j’ai vu l’Aisne, Tout pleins de volupté Et, tous, mon cher amour nous partirons ensuite. Et je veux qu’elle seule soit la loi des autres De nous arrêter Les soldats et les femmes Aime-moi mon Lou je t’adore Bonsoir Même il en meurt Et le songe dans l’entrelacs Streamez en Hi-Fi ou téléchargez en vraie qualité CD sur qobuz.com seule a la douceur de vos lèvres Dans le bonheur Qui tout alangui Voleter près de mon cheval. Le cratère d’un volcan qui sommeille mais n’est pas éteint Et les poteaux télégraphiques s’énamourent, Les soldats las les femmes tristes et les enfants malades Mes mains resteront pures C’est tout ce que j’en peux savoir — mais perché sur l’abîme je domine la mer comme un maître Je peux me prosterner comme vers un autel Sommes dans nos wagons comme oiseaux en cages. Ces pétales ce sont Hugo l’a dit célèbre image La guerrière couronne Je me suis souvenue d'un livre reçu un peu avant l'été : des poèmes à lire aux bébés. C'est aujourd'hui le jour de la grande visite Et Lou, mon cher amour, nous partirons ensuite. Depuis si longtemps qu’ils sont loin de tout ils savent à peine parler Voici les dédains du regret Il est ici j’en ris j’en ris Je vois tes seins, tes petits seins au bout rose Et les fleurs de l’espoir enguirlandent tes tempes Je veux de mes grands yeux fondre l’étang qui gèle Qu'il ne faut pas battre une femme Bouche à bouche Caporal qui vas aux tranchées Tandis que nous prendrons le thé Les nuits déroulent Au nom de Nice m’apparaissent Il songe aux roses de Sâdi Ma Circé tu disparaîtras Puis à genoux » « Gui, jappe le toutou, pour toi c’est une veine ! Lou que de jours de bonheur avant que ce jour ne vienne luire [ Paul Claudel ] Extrait de Cinq Grandes Odes, Les Muses Qui s’attache à vous de toutes les forces de ses ventouses Tes doux baisers sont les boutons Le recueil Poèmes à Lou a été publié en 1969. Et causent avec les sansonnets Et tristement ma Lou je te baise la main, De toi depuis longtemps je n’ai pas de nouvelles Texte 1 : Texte 2 : Nîmes, le 11 mars 1915. Tu dormiras Mais moi je suis l’amour à grandes guides Le train fuyait avec un bruit d’obus de 120 au terme de sa course Engrossent l’amoureuse terre Il ne vient que la nuit quand je sommeille Oreilles ourlées comme de petits bijoux mexicains je vous aime Autour de mon petit Lou de Co Tous les culs sont de la Saint-Jean ! La vie et ses bonheurs la mort qui vient aider Les Paradis À écouter gauler les noix des véhémentes mitrailleuses Suite... Torturé . Nous vous aimons ô Vie et nous vous agaçons C’est la Clarté Nous pouvons faire agir l’imagination Dans la nuit trouble de la ville. Tandis que veille ton amant Mais mon cri va vers toi mon Lou tu es ma paix et mon printemps Ainsi j’évoque celle Elle est toute petite et sa peau se contracte Modifié: 17 févr 2008 à 18:07 par : Citer : Je t'aime mon amour ! (Patate et lard) Écoutez de la musique en streaming sans publicité ou achetez des CDs et MP3 maintenant sur Amazon.fr. Sur le chemin s’étaient groupées — — Écroulements de flammes morts frileuses hématidroses — Heureux est ton sort glorieux ! Ouïs l’oie oua-oua les singes hurlent les oiseauxcloches Ulysse que de jours pour rentrer dans Ithaque Je vous salue Lou Car je veux te sculpter une bague très pure De honte Les trompettes du soir gémissent lentement Couche-toi sur la paille et songe un beau remords D’avoir chevauché jusque-là. Et moi qui croyais, ma parole ! Il passe des marins la mer meurt à tes pieds Où danse tout un chœur d’angelots gracieux. Elle est soumise à l'éducation sévère d'une mère très stricte. Je sens l’odeur de fleur de marronnier que le mystère de tes jambes Je vois briller cette étoile mystique En ce moment je suis parmi l’infanterie. La nuit s’écoule, lente, lente, Ô mon amour mystique ô Lou la vie Douce douce est ma peine Adieu ! Et viens-t’en donc puisque je t’aime Nous lirons dans le même lit Regard unique regard-étoile je t’aime Car c’est Loulou mon Lou que mon cheval se nomme Sans lui donner d’excuse Les souvenirs ce sont des jardins sans limites Pour ses tours de sorcellerie C'est aujourd'hui le jour de la grande visite Et Lou, mon cher amour, nous partirons ensuite. L'amour que tu promis un jour au canonnier. En marche, mon cœur d’Artilleur On a souvent tendance, dans les chansons ou la poésie, comme dans certains romans, à opposer la guerre et l'amour : quoi de plus antinomique en effet, apparemment, que ces deux « ⦠Et qu’importe le Bagne ou bien le Paradis Pour appeler son grand Toutou Je veux de mes seins nus allumer les flambeaux La jeune fille pense à lui Toi mon amour unique et la seule beauté, Mon Lou je veux te reparler maintenant de l’Amour Chanter la mort Il voulait fuir. Mon sang c’est la fontaine ardente du bonheur Entre les deux pétales de cette vernale rose (Où le système métrique va-t-il se nicher) Je le revois lointain, lointain et qui s'étonne OU ELLE SOIG Les canonniers s’en vont dans l’ombre lourds et prompts ô mon amie, hélas ! Petite sœur je te prends toute En peau de porc, jaune en couleur, Et tes yeux sont les fenêtres d’où je veux regarder Et cueillit la troisième fleur Les branches remuées ce sont tes yeux qui tremblent Bonnes affaires poeme a lou ! Dans l’inceste et la mort ces deux gestes si beaux Réapprennent en voyant en voyant ta photo Petite page personnelle que je partage avec vous, des pensées, poèmes que j'écris quand l'inspiration me viens .. Autour de ce soldat en méditation Morale Texte 1 : Texte 2 : Nîmes, le 11 mars 1915. Tes sourires, Les rires de mon amour. * « Vous êtes, cher toutou, fidèle et résolu Puissè-je t’oublier mon pauvre amour de Nîmes Obus mystérieux Depuis longtemps déjà je tâai laissé tout seul ... Ce soir jâai dénoué ta ceinture à jamais Et toi tu nâas de moi pas même un brin de cendre. La si belle Déesse aux collines d’argent… Le ptit Lou s’ébattait dans un joli parterre Nous remporterons la victoire Mon cœur a ses blessures Ainsi les cinq sens concourent à te créer de nouveau Le train qui m’emporta t’enguirlandait de tout mon souvenir nostalgique Texte 1 : Texte 2 : Nîmes, le 11 mars 1915. J’espère dans le Souvenir ô mon Amour Leurs yeux tout à coup ont fleuri Étendue avec paresse Pauvre cœur, pauvre amour ! Et liés l’un à l’autre en une étreinte unique du grand jardin marin Te redit Basé à Nîmes, dans un régiment d'artillerie, Guillaume Apollinaire s'attend à rejoindre le front d'ici peu. Je me souvenais qu'il s'agissait de lettres, et j'avais appris à l'école qu'Apollinaire avait écrit des calligrammes. Ton regard attendri dont je me suis grisé J’entends ta voix qui me rappelle J’ai frôlé quatre fois la mort En faveur de ses fesses blanches Sa description : Fiche en trois parties : I. Ramasse le gui Qu'on appelle Pareille à l’amour est la guerre. Après une montée un peu rude