Je deviens le roi de l'excuse… le spécialiste du "je suis en train de terminer ça", et du "tu l'auras demain, promis"…. J'ai eu des moments de bonheur et je n'ai pas su les savourer. Mesdames et Messieurs les journalistes qui connaissez mal le TDAH - Témoignage Mis a jour le 13 juin 2016 , par Christine Gétin Témoignage d’une maman en … Il est excessivement généreux, aimant, attentionné, imaginatif, comique, léger, positif, enthousiaste, fort compréhensif et adéquat avec mes ados, tendre avec moi, un père adorable pour sa fille...Je redoute que ces moments de non-communication, de crises et d'incompréhension ne finissent pas laisser de vilaines traces en abîmant notre belle relation. Témoignez sur le blog Haut de page / Index J'ai toujours peur de manquer de temps. Je faisais piètre figure face à mes collègues, j’étais pour eux « un gamin en plus à surveiller » plutôt qu’un collègue stable. Ce qui me caractérise c'est : vouloir finir avant de commencer. Dans mon école il n'y avait pas cela mais c'était l'occasion d'engager un dialogue constructif et positif à ce sujet avec le responsable de l'établissement.Ce message est pour vous donner un souffle d'espoir vis-à-vis de ce problème. Si je reste trop longtemps au même poste, la routine s’installe et mon attention s’envole. Je dois retourner chercher ce que j'ai oublié. Puis je dois m'arrêter pour récupérer. Mais je voudrais pouvoir continuer. Je me souviens j'étais très, très, très timide. Je me sens nul…. Les beaux enfants sont habitués et les invités aussi ils trouvent ça marrant en général. D'autres adultes TDAH sont du matin et ont plus de chances d'avancer dans la vie et d'être en phase avec leurs contemporains. Cela a toujours été comme ça. J'ai beaucoup de mal à supporter les autres que je ne trouve pas assez rapide, souvent je fais les choses à leur place et cela m'épuise. Beau témoignage d’une jeune femme sur son TDAH. Certains comportements de mon compagnon me font en effet très fort penser au TDA. Je ne l'ai pas écouté. Quand la neuropédiatre qui a enfin diagnostiqué notre fils TDA, elle m'a demandé s'il y avait d'autres cas dans la famille. Je me sens pleine d'énergie. Une deuxième maison de repos où je suis resté deux ans avec de grosses tensions avec mes collègues et aussi la direction… ben oui, je suis lent et sur le temps qu’une aide-soignante faisait 3 toilettes, moi, infirmier, je n’en faisais que 2… Là aussi j’ai eu la chance de croiser une responsable de nursing qui m’a coaché comme un jeune élève de première année.Ensuite, j’ai travaillé dans un centre pédiatrique, c’était un remplacement et enfin dans un centre psychiatrique où là aussi, je me suis effondré après trois mois seulement tant le travail y était lourd au niveau émotionnel.J’ai entrepris une thérapie de 4 ans visant entre autres à restaurer une estime de moi-même déficiente et à mieux m’affirmer.Je suis actuellement depuis maintenant 18 ans infirmier dans une autre clinique psychiatrique où, comme le dit le slogan de l'asbl TDA/H Belgique, ma différence est devenue une force.- Je travaille la nuit, je m’entends bien avec mes collègues mais ceux-ci sont dans d’autres unités- Je suis lent, je mets deux à trois fois plus de temps que mes collègues pour préparer les traitements, ça ne fait rien, j’ai 11 heures de travail pour m’organiser- Quand je donne un soin à un patient, puisque je suis lent, je prends plus de temps avec lui, ce qui, en psychiatrie est assez apprécié- Comme je suis seul pour gérer les situations délicates, je peux prendre des libertés d’action qui ne me seraient pas possible en équipe, guidé simplement par la bienveillance et le bon sens.Parallèlement à mon métier, je me suis développé aussi dans divers bénévolats où je suis apprécié pour mon engagement.Mon TDA/H a été diagnostiqué seulement quand j’avais 47 ans, rien que le diagnostic a fait s’envoler de mes épaules un poids que je ne supportais plus. Je tiens à ajouter que lors du premier groupe de parole à l'association je me suis vraiment sentie parmi "Les miens" et que ça m'a fait un bien fou. Pour moi, pour mes proches.Je n'ai pas à faire subir mes troubles ou mes maladies à mes proches.Depuis mon diagnostic de TDA/H, depuis que j'ai mis des traitements en place, j'ai enfin l'impression de vivre ma vie.J'aime ma vie. Elle me laisse le temps de prendre une douche, de me pomponner, d'être bien.Il est trop tard pour un resto, on va donc dans un fast food.Ce n'est pas grave, on s'amuse, on rigole. Je crois qu'il y a moyen de trouver des stratégies et des moyens de nous comprendre en restant nous-mêmes et sans nous blesser.Dans l'état actuel du cheminement de mon compagnon et de sa réticence aux "étiquettes", je pense me tourner vers un spécialiste pour des informations, un avis et des conseils... et je garde l'espoir, quand il y sera prêt, de pouvoir l'y emmener. Pas surprenant !!! Je joue à, je fais semblant, des grands éclats de rire, un masque toujours joli. Je me sens mal et je n'arrive pas à le cacher. Ma première souffrance date « des bancs de l’école » où je me sentais tellement différent des autres enfants sans jamais pouvoir mettre le doigt sur le trouble qui me rongeait. Je ne comprends pas et c'est angoissant pour moi. Les enfants ont pas fini leurs devoirs.Je passe une demi-heure à m'excuser pour le repas, les devoirs, la maison qui ressemble à rien et j'invente une histoire.Je peux pas lui dire que c'est parce que j'y arrive pas.J'ai honte. J'ai réalisé alors tout ce que ses parents, ses enseignants de l'époque avaient raté. Cacher mes failles à tout prix en sachant que j'ai tord. Pour mes parents c'était "normal" étant donné que mon père est quelqu'un de distrait.J'ai toujours eu un problème avec l'ordre. Je me parle de ce que je suis en train de faire. Entre temps, j'ouvre une fenêtre Facebook, j'écris un début de mail, je range mon bureau, je vais chercher un coca, je regarde une video sur Youtube, j'écris un autre demi-mail, je me lève, je vais aux toilettes, j'écris la deuxième partie de mon mail, j'appelle quelqu'un, je regarde sur mon gsm, j'écris un message Facebook, je rappelles quelqu'un, je regarde sur mon gsm, j'envoies un sms, je commence a rechercher tout sur l'histoire des maladies modernes, je me laisse emporter par Wikipedia, par Facebook, par youtube, je me relève, je dois aller chercher un café, je vais dire bonjour à une collègue, j'envoie un mail, j’écoute une chanson, je pense à ce que je vais manger ce soir, je regarde par la fenêtre, je me lève, je m'assis, je re-regarde une video sur le net, je regarde ce qu'il se passe dehors…. Adultes, elles éprouvent des problèmes d’attention et d’organisation difficiles à conjuguer avec la vie quotidienne. Il peut alors d'un coup perdre toute mesure, se sentir désaimé, voire rejeté, se mettre dans des états émotifs incroyables de la plus grande tristesse à la plus grande colère, me soupçonner du pire, détourner mes paroles en dehors de leur contexte et les interpréter contre lui, retourner la critique contre moi... Je pense qu'il souffre beaucoup dans ces moments et qu'il ne parvient plus à sortir de ces ruminations incontrôlables. Je le fais pour donner un témoignage comme quoi un enfant atteint de TDA/H est capable de réussir malgré ses troubles de l'attention.Comment est-ce que j'ai réussi ?Grâce à mes parents, aux neuropsychiatres qui me suivaient, et aussi au traitement. D’aussi longtemps que je me souvienne, j’ai toujours été un élève « effacé », j’évitais les contacts avec les autres ; à la récréation, je me « planquais … Leur sensibilité les aidera à discerner ceux qui leur veulent du bien. Mon esprit était de nouveau parti.Je m'excuse encore.J'ai tellement besoin de réconfort.Mon parcours : Lire ici.Détourner les troubles biologiques pour rendre la vie pratiqueDétourner les troubles biologiques,pour rendre la vie pratique :-).S'hyperactiver à Vivre,S'hyperfocaliser sur ses passions,Se concentrer sur l'Amitié,Remettre à demain tous les soucis,Se distraire dans les rêves,Partir dans tous les sens du Bonheur, le sens de la bonne humeur, le sens de l'humour et les sens de toutes les joies à vivre.S'envoler dans ses pensées pour atterrir sur des bonnes idées.Échapper le pire pour attraper le meilleur.Perdre ses affaires c'est pas grave si on n'égare pas ses valeurs humaines et qu'il nous reste une bonne répartie aux paroles de la Vie.Savoir que gigoter c'est une activité physique... et que l'activité physique ça fait baisser la tension (mais pas l'attention)... et que c'est bon pour le cœur.Parfois l'hyperactivité mentale devient incontrôlable, quand l'imaginaire est sans limite pour écrire la Vie.Quand le temps passe et s'oublie en poésie sur les pages d'un quotidien compliqué...Quand les mots gigotent dans des pensées pour s'organiser dans l'imprévu d'une idée passagère.Quand une histoire s'échappe dans l'instant présent avant que la mémoire lointaine l'enferme jusqu'à un autre soir.Quand le cerveau zappe sur les urgences et se concentre sur un rêve de Bonheur.Avec des distractions à profusion dans un esprit voyageur, pas le temps pour négativer sur les aléas du jour.L'hyperactivité... C'est l'Art de Vivre plusieurs Vies à la fois...C'est l'Art de faire compliqué quand on peut faire simple...C'est faire des détours quand on pourrait aller droit au but...C'est l'art de chercher ce que l'on a dans la main...C'est partir dans tous les sens sauf le bon...C'est sitôt pensé... sitôt oublié...C'est l'art d'être spontanée... c'est « je pense », « je dis »...et « je réfléchis »...C'est aller jusqu'au bout d'une idée comme si la survie de la planète en dépendait.Et surtout c'est ne jamais s'ennuyer... car tout devient une aventure quand on sait bien utiliser les avantages des troubles associés :)...C. en mai qui écrit ce qui lui plait...Le témoignage de Mélodie : Lire ici. Il y a une raison médicale à mon comportement mais cela ne change rien à ce que je suis.J’ai appris à vivre avec ma différence mais cette différence aurait aussi pu me tuer.Mon hyperactivité est combinée avec une impulsivité majeure.C’est cette impulsivité souvent qui me fait agir à tord et à travers et parfois de manière dramatique.En effet j’ai déjà fait plusieurs tentatives de suicide. En grandissant, il va prendre de la maturité, être de plus en plus conscient de ce "trouble" et il va savoir où il est faible.Vous les parents, vous devez aussi permettre à votre enfant de faire développer en lui son côté artistique. Evidemment je le félicite pour moi c'est normal de dessiner partout y compris sur ses vêtements, je faisais la même chose. De ses renvois d'école, il en dit juste qu'il avait "un problème avec l'autorité". Et ce que moi, j'avais raté aussi en tant qu'épouse depuis 12 ans. Ça me stresse encore plus…. Mon mari me parlait. Bref, je commence quelque chose et je laisse la chose précédente de côté.Encore ce matin, prêtes à partir à la crèche et au travail, je mets ma fille dans le Maxi Cosi, je vais rechercher mon gsm oublié dans ma chambre, ensuite je mets mes chaussures, mon manteau. MarionJ'ai toujours su que j'étais différente, mais cela ne fait que quelques mois que j'ai mis un nom sur cette différence : « TDA/H ».Je suis d'apparence plutôt calme, c'est plus mon esprit qu'il faut occuper que mon corps. Oui pour ce qu’elle est et pas parce qu’elle est ma fille, je l’aime et la soutiendrai toujours.TDA/H ? Je commence mes études en droit en septembre.Le témoignage de Daniel : Lire ici.Une (re)naissanceMerci pour votre précieux site.C'est une vraie renaissance pour moi depuis la découverte chez mon petit frère du TDA/H, nous avons enfin ouvert les yeux sur nos vies.Pour ma part, le diagnostic n'a pas encore été effectué; mais en lisant toute votre documentation ainsi que celle remise par le médecin de mon petit frère, il semble évident que mon père, mes 2 frères et moi-même soyons TDA/H.Ça a été pour moi comme retirer un lourd rideau en velours sur 27 ans de vie ! Quatre ans plus tard, il raconte son parcours et ses difficultés au quotidien. A la faveur d’une pause carrière, à l’âge de 33 ans, j’ai repris mes études d’infirmier. C'étais un vendredi. Elle font du sport ou du bénévolat.Moi je ne fais rien. Jusqu'à il y a 1 mois et demi et ce diagnostic qui tombe pour mon petit frère. Le matin lorsque je me lève je suis paniqué à l'idée d'accomplir les choses que la princesse qui partage ma vie dresse sur une liste. Dans la cour de récréation, on ne voulait pas forcément jouer avec moi. Aujourd’hui par exemple, dans mon travail de consultant indépendant, j’ai un mal fou à gérer les petites activités annexes qui se greffent à ma profession : comptabilité, secrétariat, démarches administratives… Comme ces choses ne m’intéressent pas, je peine à soutenir l’attention nécessaire à leur réalisation. Je ne sais pas si vous pensez maintenant que j'appartiens à la famille fol-dingue mais ça m'a fait du bien de raconter mon histoire, je n'en parle jamais à personne même si je vois que les gens me regardent parfois bizarrement quand je commence à travailler en multitâche. Le temps passe. Toujours cette peur viscérale de l'échec, croire qu'on est toujours limite alors que le résultat semble bon pour les autres. La porte vient de claquer. Il m'arrive fréquemment d'oublier comme la liste d'épicerie sur la table de la cuisine et je réalise cet oublie lorsque je suis au marché. Mais à quel prix ? Quelques temps plus tard, tout se précise je vois ou et quand je dois faire les choses. Ce n’est pour moi que le début d’un long parcours, tout n’est pas évident, il faut continuer d’apprendre à toujours mieux gérer d’autant que la méthylphénidate ce n’est pas 24H/24H, alors que les troubles eux sont là tout le temps.Donc le matin, je continue d’avoir beaucoup de mal a me lever et ce n’est pas rare que le bol de déjeuner se renverse, que le lait se verse à coté du bol, ou que je sois là à rêvasser devant une tartine en attente d’être croquée. Je ne veux pas le changer ni me perdre moi-même dans ce tourbillon qui me dépasse parfois . Je fais le superflu, j'oublie l'essentiel. Après mon diagnostic, ma neurologue m'a prescrit des psychostimulants. Pour moi, c'est normal mais ça perturbe les autres. Mon père ma toujours reproché d’être nulle et différente, ma mère disait que je faisais que des châteaux en Espagne, que je m’intéressais qu’au luxe.Moi j’aimais l’art, les belles choses, et je lisais énormément sur tout. À l'école, j'étais comme ça malgré que j'ai réussi à faire des études jusqu'à l'université. Je perçois la vie comme une lourde montagne à monter et pour les autres, le tout semble normal, simple, etc. Je crois que tout est en ordre, je sors je ferme la porte. Il y a noué des amitiés sincères et j'ai pu me rendre compte par moi-même à quel point il est apprécié et reconnu là-bas... et admiré par beaucoup ici pour son côté aventurier et pour sa personnalité en général.Actuellement, nous vivons ensemble depuis 3 ans. Mais aujourd’hui j’ai choisi de travailler à mon compte car je ne supportais plus l’idée d’être « enchaîné » à une entreprise. A chaque fois, je me sens de trop, pas à ma place.Je n'arrive pas à lancer une conversation, je ne sais pas quoi répondre, je trouve toujours la conversation d'à côté plus intéressante et alors je décroche. Sachez identifier les principaux symptômes et signes du TDAH chez les adultes. Le problème est que lorsque je lui en parle, il nie ce problème et que je n'ose plus lui en parler car il est très susceptible et impulsif. Merci Kante d'un TDAH à un autre, mille merci pour ce témoignage source d… Elle est organisée, contrairement à moi. Bonjour, cela fait quelques fois que je fais la lecture de votre site. Mon mari souffre d'un TDA/H qui vient d'être diagnostiqué. Oui, c'est injuste : Lire ici. Aux réunions de famille on entretient tous plusieurs conversations en même temps parfois dans plusieurs langues pour mieux se repérer quand on discute de deux choses en même temps avec la même personne. Depuis quelques jours je me pose beaucoup de questions par rapport à moi-même et à ma famille. Mais, comparé au début d’année sans traitement, c’est au moins 80% de complications chaque jour en moins. Cela me permet d’accomplir mon travail au bureau pour l’entreprise de mon mari, sans faire des grosses erreurs, de ne plus perdre des heures à chercher un papier égaré. Ma mère ne m'aidait pas car c'est elle qui rangeait le plus souvent à ma place.En secondaire... L'adolescence et ses stimulus n'ont rien arrangé.J'ai d'ailleurs raté ma 4ème secondaire. Je décide de m'asseoir et de regarder juste une minute pendant que je réfléchis à ce que je vais préparer comme repas. Au fil des années j'ai donc remarqué que plus j'ai de choses à faire, mieux je les fais. Je passerais mon temps à '' cogner des clous '' à cause de la monotonie. Je me souviens j'étais très, très, très timide. Tdah : le témoignage émouvant d'une maman sur l'hyperactivité de ses enfants. Je possédais suffisamment les techniques de base et j’avais un excellent contact avec les patients, il me manquait cependant une chose : la rentabilité.Travailler bien, je connaissais… Travailler vite, c’est une notion que j’aurais aimé ne jamais aborder.Mais voilà, si je voulais garder ma place, il fallait faire un effort.Cela ne s’est pas fait sans peine, les remarques pleuvaient ; elles m’ont aidé à prendre conscience que si je n’allais pas plus vite, je causais un surcroît de travail à mes collègues.C’est bien d’en prendre conscience, mais quelles solutions ?J’avais beau chercher, allonger le pas entre deux chambres, il n’y avait rien à faire au point où le climat de travail était devenu pénible tant pour moi que pour mes collègues.Dans ces conditions, vais-je devoir renoncer à un métier qui pourtant m’attirait ?C’est alors que j’ai eu la chance de croiser le chemin de Dorothée.Dorothée était une personne expérimentée, elle avait compris aussi que les remarques négatives ne me faisaient pas progresser.Elle m’a accompagné ; en toute simplicité, elle a mis ses pas dans les miens, me prodiguant le bon conseil au bon moment, avec une infinie patience et sans jugement.Petit à petit j’ai gagné en assurance, en organisation et en rentabilité.Je pense que si nos routes ne s’étaient pas croisées, j’aurais abandonné un métier où je m’épanouis aujourd’hui.Je souhaite voir fleurir des Dorothée partout où il y a un débutant qui rame ; que ce soit dans la vie professionnelle ou la vie associative.Il est tant de personnes qui ont toutes les potentialités en elles et à qui il manque… juste une Dorothée pour pouvoir s’ouvrir et aller plus loin.Parfois cela peut changer l’orientation d’une vie.Merci Dorothée.AntoineTémoignage, le vécu de l'adulte : Lire ici.ArthurJ’ai un TDA/H avec déficit de l’attention nettement prédominant. Comment est ce que les "autres" pourraient m'aimer alors que je m'aime si peu. Ces 4 lettres ont chamboulé ma vie ! Son comportement interpellait. , je me suis complètement plantée et j'ai très mal vécu cette période, vu que je n'arrivais pas à synthétiser les infos qui me parvenaient et que les cours se donnaient de manière "Ex cathedra" c'était vraiment trop pénible et lors des examens oraux j'étais complètement pétrifiée. Le témoignage d'Hortense : Lire ici.Je suis prête à relever tous les défisA force de devoir faire face depuis mon plus jeune âge aux défis que provoquait mon TDA/H, je suis devenue mature plus vite que les autres enfants.J'ai appris à connaitre mes forces et mes faiblesses. Cependant, j'hésite encore à m'engager dans des projets ou des relations, hantée par la peur d'abandonner de nouveau. J'ai peine à faire le ménage dans ma propre paperasse, ce n'est qu'un exemple. Un vrai soulagement ! Je décroche.J'ai encore oublié un rendez-vous. LauretteJe déteste mon TDA/H !Ce matin mon patron m'a dit que j'étais multitâches...J'ai souri... Avant qu'il poursuive...Parce que vous êtes capable de faire foirer plusieurs choses à la fois... AmélieJ'ai découvert il y a peu que je suis TDA/H, comme mon fils, Thibault.Je comprend mieux aujourd'hui pourquoi je me suis toujours sentie aussi mal avec moi même, pourquoi je ne trouvais pas le bon équilibre à ma vie et pourquoi si jeune je me sentais incomprise, toujours punie, toujours rebelle.C'est seulement en voyant mon fils que je me rappelle comment j'étais.A l'école je n'avais pas de copines, j'étais garçon manqué, je préférais jouer au foot avec les garçons que sauter à la corde. Alors, j’ai continué à grandir avec ce sentiment d’être moins que les autres, j’ai continué à me dévaloriser jusqu’à l’âge de 40 ans appelé communément « l’âge mûr ».