Reverrai-je mon ptit Lou ? Ces trous où dans mon manteau couleur d’horizon L’amour qui surviendra me plaira davantage Devant moi 1915. C'est question de jours. Ceux des Français sont bien plus pleins Aller au contenu. Je chanterai tes yeux Ô gracieuse et callipyge, Au livre de ton corps lui-même MBRE — Mon nom ? L'air est plein d'un terrible alcool Et c’est de mon amour le corps spirituel C’est à douze kilomètres d’ici que sont Comme le titre l'indique, ces poèmes sont dédiés à Lou, alias Louise de Coligny-Chatillon. Ma biche part Les vaches du couchant meuglent toutes leurs roses Mon voyage est un grand [trou] noir Ainsi beau ciel aimé, chère Lou que j’adore Au nom de Nice m’apparaissent M’aimes-tu donc mon cœur et mon âme bien née du grand jardin marin Et si voluptueuse C’est une bataille de fleurs Et le cortège des désirs Baixe agora nosso app para smartphone. Nous buvons au bidon à la fin du repas. Et les fleurs de l’espoir enguirlandent tes tempes — Écroulements de flammes morts frileuses hématidroses — Parfois le cri sinistre de l’agace Dans le ciel pâle éperdument Et que mon cœur ne bat que pour toi ma chérie     Qui PUR EFFET DE L’ART soit aphrodisiaque Guillaume Apollinaire, Poèmes à Lou Pour un regard de tes beaux yeux. De tes doux yeux irrésolus Me sont venus de Paris, C’est le sifflet dont je me sers Elle est comme le feu dans la forêt Et ces pétales me font rêver   Je le revois lointain, lointain et qui s'étonne Par l’Art magicien C'est aujourd'hui le jour de la grande visite Et Lou, mon cher amour, nous partirons ensuite. Nous énerver jusqu’à l’exaspération Mon lit ressemble à ta caresse Toi mon amour unique et la seule beauté, Mon Lou je veux te reparler maintenant de l’Amour Lampes au bout du chemin fatigues des soldats Chaque heure infiniment augmente la souffrance J’y joindrai bien aussi de ces beaux myrtes verts Pas au plafond sur le passage D’hier et nous aimons, ô femmes, vos images. Reçois-les car je te les jette Où danse tout un chœur d’angelots gracieux. Un rossignol meurtri par l’amour chante sur Des faux semblants des songes Et perdait ce qu’elle aime Où chaque soir il se promène     Un jour elle lui dit Je t’aime ô mon poète Les cyprès ont noirci le ciel a fait de même Et Dame Lou voyant qu’elle en valait la peine Chute des épaules adorablement pure je t’aime J'ai sommeil Oriande y dort comme un parfum venu dans la dernière lettre et quirepose Ecouter sur DEEZER Composé et interprété par Marc Robine Luc Berimont - (1915-1983) Je parle de la mer Je parle de la mer qui c... Ecouter la version chantée Interprétation : Monique Morelli Composition : Lino Leonardi - Diffusé par DEEZER - Louis Aragon - ... Calligramme de Carolina Ecouter sur DEEZER Interprétation : Chanson Plus Bifluorée Composition : Sylvain Richardot Maur... Composé et interprété par Hélène Martin Ecouter sur DEEZER Interprété par Jacques Douai Composé par Hélène ... Ecouter sur DEEZER Interprétation : Ensemble Camerata Tallinn Composition : Ella Adaiewsky (Adayevskaya) Charles d'Orléans ... Ecouter sur DEEZER Interprétation : Ensemble Clément Janequin Composition : Antoine de Bertrand Ecouter sur DEEZER Titre : Amour, ... Calligramme de l'auteur Ecouter sur DEEZER Interprété par Félicity Lott sur une musique de... Robert Desnos par Raphaël Gauthey Ecouter la version chantée Interprétation : Marc Robine Composition : Marc Robine - Diffusé pa... Ecouter sur YOUTUBE Chanté par Marc Ogeret sur une Musique d' Hélène Martin Louis Aragon - (1897-1982) Le feu Mon Dieu mon... Christine de Pisan et son fils Ecouter sur DEEZER Interprété par l'ensemble Gilles Binchois Composition : Gilles d... Charles d'Orléans - Allez-vous-en, allez, allez, Ronsard - Mon dieu que ma maistresse est belle. De baisers que le gui Le printemps reviendra les lilas vont passer Nous entrerons dans les grands marécages où des forêts sont noyées Trois belles petites dames Et j’accorde mon luth comme l’on bande un arc Et vous ne savez pas que l’on s’en sent mourir Chevelure trempée dans le sang des amours je t’aime Le jour n’existe plus le soleil s’est noyé Mais se contente bien, ma foi, Des belles amours que la mort a fauchées, L’espoir flambe ce soir comme un pauvre village Et quel soleil la bouche errante Les genres poétiques II/ Le sentiment amoureux dans un poème A . Qui ne trompe jamais que les âmes vulgaires               C’est vers toi qu’elles volent 4ème de couverture: Etant donné qu'il n'y a pas de 4ème de couverture, je vous mets le début de la préface : "Rien n'est indifférent de ce que nous a laissé Apollinaire. Écoutez la Mort qui ronronne Sur lui la victoire est penchée Poèmes à Lou, précédé d'Il y a - « Jouant de tous les registres, depuis les mètres traditionnels jusqu'au poème figuré, jamais Apollinaire n'a montré dans son expression une telle audace et une telle invention\. Tu m’as parlé de vice en ta lettre d’hier               Et quand le jour décline Que les tristes fleurs d’acier Un mois après tu partiras Autour de ce soldat en méditation Je t’adore mon Lou embrasse-moi avant que je ne dorme Les souvenirs ce sont des jardins sans limites     Je t’aime pour toujours Enfin je te revois Ce sont les soldats morts qui rêvent Et j’irai conducteur un jour lointain t’y conduire La plus rare des fleurs, ô toutou, mon meilleur Donnerait au soleil plus de vive clarté L’heure Qui va rejoindre les tranchées Nous marchons, nous marchons d’un immobile pas. Il y a un poète qui rêve au ptit Lou Un cœur parmi des cœurs que la gloire a vengé, Et tandis que la lune luitLe cœur chante et rechante lui Je descendrai tandis qu’éclatent les marmites     Je les gardai longtemps pour les manger ensemble Car ô ma chevelure de feu tu es la torche Ce sont les sanglots et les cris que jettent les mourants Des atteintes du feu jamais rien n’est décevant En vain je te tendrai les bras     Te souviens-tu mon Lou de ce panier d’oranges Ait sommeillé De tes beautés la belle troupe Ce flot méditerranéen Que passent les obus comme des étoiles filantes Rajeuniraient toujours pour leurs destins galants Hanches fruits confits je les aime ma chérie Et disaient d’une douce voix, En haut Je songe au goût de ta chair et je songe à tes hanches C’est ainsi que je l’aime la liberté Autres textes chantés de cet auteur. Lou, mon amour lointain et ma divinité, Je me rappellerai la mer les orangers Depuis longtemps ma décision est prise. Malgré la guerre et tous ses maux Où le directeur et le médecin-chef deviendraient Et justement un ver luisant palpite Et je veux qu’elle seule soit la loi des autres NE LES BLESS Autour de mon petit Lou de Co Et cette pauvre croix sous laquelle sommeille Ainsi que deux canons tombés de leur affût Et mon cœur pend-il à ton cou ? Poésie, poèmes et poètes ... Quand je suis à cheval tu trottes près de moi. a madame la Vu sur i.pinimg.com Vu sur unproductivepoetry.files.wordpress.com je. Qui va rejoindre les tranchées. Ce soir je t’aime à peine ERRE, Je pense à toi mon Lou ton cœur est ma caserne Ainsi j’évoque celle   Les mains jointes     Il pleut Bergère il pleut et le sang va tarir 30 janvier 1915, Nîmes. Ciel changeant, ô Lou, ô Lou Prendrai mon fouet de conducteur. Je t’envoie un obus plein de fidélité Baronne Une volupté pure L’AMOUR. Mars et Vénus, le reverrai-je J’ai perdu le sens de la vie Son chant les mots mystérieux Où va mon coeur en régiment C'est aujourd'hui le jour de la grande visite C’est le galop d’un cavalier qui passe Sur la digue une reine regarde le champ de bataille avec effroi Et qui à l’hôpital auxiliaire où à Nice Dans ma Clarté Ennoblissons mon cœur l’imagination Je baise tes cheveux, mon unique trésor, Plus doux que n’est le chocolat Cependant qu’Elle les regarde d’un air tendre, Ô lys ô cloches des cathédrales qui s’écroulent au nord Les soldats las les femmes tristes et les enfants malades Ces rares fleurs j’en vais rêvant Les nuages s’en vont courir les mondes Sur les rails où je vais Buvons du marc que je voudrais tant cueillir HOMMAGE Il fait un vent tout doux comme un baiser mordu. Si tu te courbes Ardeur comme une flamme au vent Comme à ceste fleur la vieillesse Fera ternir votre beauté. Tu m’appartiens, je t’appartiens, D’un bleu qui s’épaissit en souhaits en amour Un chien perdu crie à la mort. Lorsque l’hiver viendra ô ma jeune beauté, Car c’est Loulou mon Lou que mon cheval se nomme que nous la portons par le souffle, tu le sais, ... Lou, de celles qui peuvent faire des hommes, des enfants et de nouvelles femmes Te redit Tous les amours se réunissent Je rougirais ta bouche et tes cheveux sanglants Et l’âme mystique Nez singulièrement aristocratique je t’aime Qu'elle ne reste plus ici ! Des soldats mangent près d’ici de l’ail dans la salade Et que Lou siffle en ce sifflet Modifié: 17 févr 2008 à 18:07 par : Citer : Je t'aime mon amour ! Postez vos poèmes, vos commentaires... Bienvenue à tous les poètes ! Mais mon cri va vers toi mon Lou tu es ma paix et mon printemps Notre amour restera bien toujours ce qu’il fut Il grince et crie C’est tout ce que j’en peux savoir — Trouant la nuit, la nuit de verre Ceux de l’arrière ceux de l’avant Elle annihile en agissant ta volonté tout entière Chanter la mort Mais c’est l’été maintenant Et si tu parles gentiment Les vers luisants brillent cette nuit autour de moi S’amènent en longs troupeaux tristes. Heureux est ton sort glorieux ! Les fantassins bleu pâle qui partent pour le front pensent à toi Élève de l'Institut Saint-Enfant-Jésus de Vesoul [3], après l'installation de sa famille à Dijon, elle fréquente … Les canons membres génitaux Tes joies, L'expression de mon … Dans la chambre de volupté J’y chanterai tes bras comme les cols de cygnes Jolie bizarre enfant chérie Ainsi les cinq sens concourent à te créer de nouveau Onde parfumée des chansons Mon destin au tien est mêlé Couleur de tes cheveux cul rond comme une pomme Pour ta grâce ô démone Ton image à la main, mourir en souriant Dont les fleurs de grenade entre nos cœurs écloses Moi seul ai droit de parler à ce portrait qui pâlit Sur tes jambes qui sont un jardin plein de marbres Et nos armes graissées c’est comme quand tu me veux Petite sœur je te prends toute Le temps sans toi. votre pensée la + secrète, À Puisque je t’aime éperdument. Mais survit attentive au fond des hypogées, Mais trois pétales de pivoine Même il en meurt Cher amour si longtemps attendu, Grâce à toi Foi et Espoir sont réapparues, Tu me fais revivre de grands sentiments, Comme la sève essentielle à la croissance à printemps. J’écris tout seul à la lueur tremblante Du Grand Bonheur Au vent, dans le bruit des combats Deux fusants rose éclatement Reins chevaucheurs reins puissants je vous aime Front de Toutou front de l’armée Qui du Nord est la souveraine. Canonnier ayez patience ! Capture l’immense monstre de ton œil Ô lente lente nuit ô mon fusil si lourd, Et prends bien garde aux Zeppelins Et des feuilles de rose aussi… Sont venus comme de belles dames Et puis repart pour regagner l’Intérieur Neige rose de Mézidon ! Et dansait lentement lentement s’obombrait Find album reviews, stream songs, credits and award information for Poemes a Lou Alcools - Jean-Louis Trintignant on AllMusic - 2007. Comme des éclats d’améthystes La dernière modification de cette page a été faite le 27 septembre 2020 à 12:57. Dites où Et ma maîtresse que n’est-elle                 Qui semble avoir tes yeux     Car tu devais venir me retrouver à Nîmes Et ta grâce est mon seul souci, Bientôt bientôt finira l’oût Infidèle Ce sont les morts qui se relèvent De nos fausses amours passées Me regarde Je veux de mes seins nus allumer les flambeaux Un cavalier va dans la plaine Je t'adore. Brisés de trop s’aimer nos corps restent inertes « Qui donc est-elle ?» Il voulait fuir. Et tristement ma Lou je te baise la main, De toi depuis longtemps je n’ai pas de nouvelles La biche du silence éperdu passe vite. 4 février 1915, L'amour est libre il n'est jamais soumis au sortO Lou le mien est plus fort encor que la mortUn cœur le mien te suit dans ton voyage au Nord, Lettres Envoie aussi des lettres ma chérieOn aime en recevoir dans notre artillerieUne par jour au moins une au moins je t'en prie, Lentement la nuit noire est tombée à présentOn va rentrer après avoir acquis du zanUne deux trois A toi ma vie A toi mon sang, La nuit mon cœur la nuit est très douce et très blondeO Lou le ciel est pur aujourd'hui comme une ondeUn cœur le mien te suit jusques au bout du monde, L'heure est venue Adieu l'heure de ton départOn va rentrer Il est neuf heures moins le quartUne deux trois Adieu de Nîmes dans le Gard, Vais acheter une cravache Apollinaire: Poèmes à Lou, Quatre jours mon amour… Le poète Guillaume Apollinaire (1880-1918), engagé volontaire pendant la guerre de 1914 et affecté à Nîmes en attendant le départ pour le front, venait d'entamer une liaison passionnée, brûlante, avec une jeune femme d'origine aristocratique, Louise de Coligny, qu'il dénomme plus intimement Lou. Je touche aussi la toute petite éminence si sensible     Aux créneaux aux créneaux laissez là les pioches Claquer le drapeau tricolore Je le revois lointain, lointain et qui s’étonne Renvoie vite cette maudite femme. Bientôt bientôt finira l’août Reverrai-je mon petit Lou   Sur de belles libellules électriques De toi depuis longtemps je n'ai pas de nouvelles . Texte 2 : Nîmes, le 11 mars 1915. Sais-je, mon cher amour, si tu m'aimes encore ? Comme deux seins que l'on dégrafe Qui s’attache à vous de toutes les forces de ses ventouses Et les larmes d’un poème, celui. Immaculés respectueusement passionné Ils sont toute ma lumière dans la nuit noire En Prose et de toute manière Il ne faut pas chercher à comprendre. Dans une adoration suprême, mon beau ptit Lou, que tout mon être pareil aux nuages bas de juillet s’incline devant ton souvenir Ô cahutes d’ici nos pauvres reptilières En zieutant tes jolis seins ronds ? À travers notre République Lou je t'aime = « mes larmes tombent », « chez le major », « Je porte au cœur une blessure … Des sept Départements où le sang a coulé Le souvenir Adieu mon cœur, Quatre jours mon amour pas de lettre de toi Et toutes les Nymphes du Nord poèmes à lou artyuiop page suivante. Les obus qui tournoient comme de petits mondes Nos 75 sont gracieux comme ton corps ... Poèmes à Lou. Et mes hanches je veux qu’elles soient des tombeaux Pour sa magie et son poison seule a la douceur de vos lèvres Sur le ciel nu Aime-moi mon Lou je t’adore Bonsoir Sans ces attouchements Je l’ai donné je l’ai repris Si je mourais là-bas sur le front de l’armée Et l’entoure de sa sollicitude Ah ! Qui est ta vie vie même au suprême degré Je sens le parfum de rose rose très douce et lointaine Et céleste.                       * Jouant tous deux au jeu des hanches 1 De toi depuis longtemps je n'ai pas de … Ton amour doit être passionné de douleur Tes seins ont le goût pâle des kakis et des figues de Barbarie Trois pétales de pivoine. Il y a des wagons belges sur la voie Ton regard attendri dont je me suis grisé Le soir j’en serai raplapla Et leur Le ciel d’un bleu profond d’un bleu nocturne Car puisqu’il doit mourir je veux me faire belle Des soleils tour à tour se prennent à hennir Les obus ont brûlé les fleurs lascives » Guillaume Apollinaire, né en 1880 à Rome et mort le 9 novembre 1918, est un poète français. Écoute-le battre mon cœur ! Cuisse au galbe aussi esthétique qu’une colonne de temple antique je t’aime Car je veux te sculpter une bague très pure Ouça as suas músicas favoritas de Poèmes à Lou Guillaume Apollinaire (Avec extraits de lettres à Lou) de Richard Ankri agora.     Mais il ne la crut pas et sourit tristement Il n’est pas plus qu’un grain de sable dans la mer J’ai charmé la blessure C’est aujourd’hui le jour de la grande visite Mais dans le train la fleur se fane et Lou pensive D’aimer en vain un jeune saint si joli Tu m’as ouvert tes bras. Le jour s’est assombri qu’il devienne doré Il y a mon cœur qui bat pour toi Comtesse Est de tes yeux la couleur ambigüe — Je suis couvert de boue et tremble de détresseJe pensais à tes pieds d’or pâle comme à des fleurs Entre deux jolis seins ne peut rien entreprendre Ma bergère Nous sommes bien Là-bas entends le cri des hommes Tous les amants J’ai ton regard Je suis bien mort Ah quel ennui Voici l'un des poèmes qu'il lui adressa et qui furent réunis plus tard sous le titre de Poèmes à Lou. La mer les monts les vals et l’étoile qui passe La plante des Druides, Je n’ai pas l’art ni la manière, De séduire son cœur. C’est l’heure de la Mort et du dernier serment Le fil de fer est là qui luit — C’est toi assieds-toi entre l’ombre et la tristesse Le cratère d’un volcan qui sommeille mais n’est pas éteint On connaitra Quand sous la schlague tu dansais une sorte de kolo     Je la pris avec moi quand à six nous partîmes Je chante ici pour que tu chantes pour que tu danses Un Artilleur Menotte aussi joue un beau rôle… Mais l’on est prêt Sont-ce pas ma belle indocile Qui doit me redonner la vie et le sourire Millions de grands moutons blonds quis’entrepoursuivent Sans rien prétendre. Nous donnera Tes lèvres, Le baiser de mon amour. Blessé, c’est dans un autobus Les heures sonnent lentement Les poèmes de madame Blanchecotte avaient donc survécu, depuis 1855. Le train s’arrêtait à Mourmelon le Petit. Comme des éclats d’améthystes. Le vent passe au travers doux comme nos baisers Et la forêt d’or s’ensoleille Comme font les fruits d’or autour de Baratier Pour toi se met en batterie, Je ne connais plus la lumière, Image associée Tandis que mon ptit Lou d’un air rêveur ... notre maison vacille depuis si longtemps. 9 poèmes à connaître de Louise Glück, ... Toi qui ne te souviens pas du passage depuis l’autre monde je te le dis, je pouvais parler à nouveau : tout ce qui ... comment s’ouvrir, après si longtemps, dans la … Et j’en ressens une blessure aigüe     Pourpre Amour salué par ceux qui vont périr Ce lundi Tes yeux qui veillent ton amant     Les amours qui s’en vont sont plus doux que les autres Dans l'eau d'amour et de folieSouvenir et Mélancolie, La fumée de la cantine est comme la nuit qui vient Poèmes à Lou, Poème XXIII Quatre jours mon amour pas de lettre de toi Le jour n'existe plus le soleil s'est noyé La caserne est changée en maison de l'effroi Et je suis triste ainsi qu'un cheval convoyé 5 Que t'es-t-il arrivé souffres-tu ma chérie Pleures-tu Tu m'avais bien promis de m'écrire Lance ta lettre obus de … Que j’ai vendues à Nice avant de partir pour Nîmes Et c’est le seul ami que je connaisse à Nîmes. Les chevaux que je vois s’ébrouer aux abords   Qu’à mes oreilles on susurre De vivre en nous aimant     En mangeant j’ai détruit mes souvenirs opimes     Et tandis que les obus passent je la mange Secteur des Hurlus, le 13 août 1915, Lorsque deux nobles cœurs se sont vraiment aimés Voleter près de mon cheval. Appolinaire, poète à l'immense talent du XX° siècle, après avoir publié(entre autres) le recueil "Alcools" à l'envoutement subtil, en 1913, a écrit ses "Poèmes à Lou" qui relate sa correspondance avec Louise de Coligny Chatillon entre octobre 1914 et septembre 1915.Calligrammes à l'aventureuse esthétique, verra le jour en 1918. Claquer les drapeau tricolore Mais quels doux souvenirs sont ceux où tu te mêles, Lou, mon amour lointain et ma divinité, Souffre que ton dévot adore ta beauté ! Ensemble nos chevaux hennissent Et purs comme des anges Mais quels doux souvenirs sont ceux où tu te mêles, Lou, mon amour lointain et ma divinité, Souffre que ton dévot adore ta beauté ! Mesdames et Mesdemoiselles Je vais enfin dormir tranquille Le lilas va fleurir. Propos la font sourire, et nos rêveurs   En tombant une à une ont jonché le sentier. Mais nous voici vers la mi-août Dans l’inceste et la mort ces deux gestes si beaux Tandis que dans les boyaux blancs Il y a une femme triste sur la route Comme font les autres poilus               Toi ma chère permission Leurs Et c’est le seul ami que je connaisse à Nîmes La vie et ses bonheurs la mort qui vient aider T’apportent agrandis               Figurent ton image voici le boute-selle… Fleurs de lys fleurs de France ô mains de mon amour J’allume une allumette et vois ta chevelure Salut salut au régiment Tous les culs sont de la Saint-Jean ! Et tes cheveux sont fauves comme le feu d’un obus Que je t'aime Les soleils merveilleux mûrissant dans l’espace Au doux service de la France 1 De toi depuis longtemps je n'ai pas de nouvelles Découvrez De toi depuis longtemps je n'ai pas de nouvelles de Richard Ankri sur Amazon Music. Sein droit si tendrement rosé je t’aime Tiens dit-elle une fleur Elle est encore plus rare blessure dont je veux mourir, Et puis voici l’engin avec quoi pêcheur Ton chat dirait-il « miaou » Petit Lou C’est devant ce site désolé s’il en fut La bougresse branlait des hanches Lorsque mon nom sera répandu sur la terre Cette jeune femme, il l'a rencontrée à Nice, en 1914, à une époque où il pensait déjà s'engager comme soldat dans la guerre. Ils s’ennuient d’être tout seuls sans femme faut bien les amuser le dimanche Sonne l’extinction des feux. — C’est le concert des anges Tu feras qu’éveillé Pour s’y reposer de sa lassitude     On sonne GARDE À VOUS rentrez dans vos maisons En une mer furieuse et écumeuse Trembler les soirs de brume autour des réverbères De toi depuis longtemps je n'ai pas de nouvelles. « Vous êtes, cher toutou, fidèle et résolu Et les yeux fermés je respirais les héliotropes de tes veines Tu es ma Lou chérie le bonheur que j’attends On est content au bord de la rivière Te souvient-il encor du brouillard de Sospel ?               Quand le sommeil nous prend fois, Je pense à toi ma Lou pendant la faction L’étranglèrent. L’ambulancier ferme les yeux devant l’horrible blessure Je crois qu’il est sage Cheu Cheu Pheu Pheu Cheu Cheu Pheu Pheu Tes pieds tes pieds d’or touffes de mimosas Bruissait le feuillage du bois Texte 1 : Texte 2 : Nîmes, le 11 mars 1915. Les trompettes du soir gémissent lentement Que l’on désigne par leur mesure en millimètres Mûrit le fruit doré qui te ressemble Je t’aime éperdument, ma chère, Puis dans mes bras     Douce comme l’amour le pauvre amour de Nîmes Un marin japonais se gratte l’œil gauche avec l’orteil droit Au revoir, ô ma bien-aimée. Ô ma tristesse et mon ardeur Lou mon amour Oreilles ourlées comme de petits bijoux mexicains je vous aime Jolie bizarre enfant chérie Et le mets savoureux de notre liturgie Et je regarde aussi les 2 petits portraits miraculeux Ta voix, mon souvenir, s'éloigne, ô son du cor. Que font déments Je suis le bonheur; Entre nous deux ma Lou se dresse l’Ombre Fronts de Toutou, front de l’armée. Je ne te verrai plus Devant la douce mer d’azur et de sinople !.. La molle courbe d'une hanche                 Exacte de ton doigt Peut seul et à peine percevoir À regarder fleurir l’obus à regarder venir la torpille aérienne Colombelle Sans nouvelles de toi je suis désespéré De cette bouche impure Et qui sont ma patrie ma famille et mon espérance Que je n’attende pas longtemps Devant la douce mer d'azur et de sinople !.. Tu pleurerais un jour ô Lou ma bien-aimée     Je ne suis jamais seul voici les deux caissons Elle te rend comme un canal calme changé brusquement Nous irons tout à l’heure à notre batterie.               Vont des Alpes au Gard que bat mon cœur Tu dormiras Notez que depuis 1912, peu avant la publication de son célèbre recueil Alcools (1917), Apollinaire a choisi de ne plus ponctuer ses poèmes. Il y a six soldats qui s'amusent comme des fous Et ta beauté Comme l’Amour De Paris Streamez en Hi-Fi ou téléchargez en vraie qualité CD sur qobuz.com Que m’embellira ta beauté Écoute au loin les branle-bas Il fut là-bas dans les tranchées Était tout rose ainsi que tes seins virginaux. Comme si la prairie était le miroir du ciel Je touche la courbe singulière de tes reins Elles sont si rares Madame On est bête quand on sème. Et chastement Un train passe rapide dans la prairie en Amérique Jolie bizarre enfant chérie Je vous salue Lou Et soudain sa tête se penche Mon adoré Je t’adore mon Lou et sans te voir je te regarde met de côté les êtres proches. — Souviens-t’en quelquefois aux instants de folie Qui te prendra ma belle Un obus éclatant sur le front de l’armée Les lumineux spectacles Lou je sais bien pourquoi je suis ici Et mourut là-bas tandis qu’elle   Je crois qu’il se souvient du jour où nous le vîmes Dans le bonheur mourir et savoir enfin l’irrésistible Éternité     Il était une fois en Bohême un poète Ô Lou, ma grande peine, ô Lou, mon cœur brisé, Puisque l’Amour est mon envie, Qu’un art étrange abîme au sein des nuits profondes, À Lou La nuit m’envoie ses violettes Font sonner à toute heure une heureuse fanfare Et mes yeux sont-ce pas de merveilleux bandits Aux mille couleurs Compagnon, puisque, plante, je n’ai pas de fleur !…
2020 poèmes à lou de toi depuis longtemps