C’est imaginatif, vivant et très bien réalisé. Son un peu épais, une impression Sound is a little thick. Peut-être un peu moins d’accents qu’à Vienne. 1983 Georg Solti – Chicago symphony orchestra 1954 Rafael Kubelik – Wiener Philharmoniker 8, 1992 – Evgeni Svetlanov The Russian State Symphony Orchestra 8,5, 1969 – Jacha Horenstein – London symphony orchestra 8, 1980 – Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks 1990 Vladimir Fedosseyev – USSR Radio and Television Symphony Orchestra 2000 Zubin Mehta – Orchestra del Maggio Musicale Fiorentino Tout sonne un peu mou, manque de caractérisation, on dirait du Lehar. 6, 2004 – Roger Norrington – Radio Sinfonieorchester Stuttgart des SWR 8,5. Misc. J’avais été impressionné par son intégrale des poèmes symphoniques de Liszt à Budapest. Presque 8′ cette fois… Très belle balance, le trio fait presque regretter le retour du scherzo, un peu d’accélération à la fin. Belle prise son, hautbois exagéré avant le n° 1, mais des instrumentistes magnifiques. 1952 – Jasha Horenstein – Wiener Symphoniker Son cette fois très correct, superbes clarinettes joyeuses et bondissantes, cors parfois limites mais très Weber, violoncelles un peu pâlots et nasillards, mais superbes glissandi après la reprise et le reste à l’avenant, j’oubliais les trompettes. 1990 Armin Jordan – Orchestre de la Suisse romande 1997 Christoph Eschenbach – Houston Symphony Orchestra 1981 Claudio Abbado – Chicago Symphony Orchestra C’est amusant de voir que sur Qobuz on a droit à une minute alors que l’on a accès à l’entièreté de l’édition Decca… Le début est vraiment pp, superbe hautbois,les cordes au n° 6 sonnent vraiment comme des squelettes, les phrasés sont plus caractérisés qu’avec Horenstein, ave un meilleur son et un meilleur orchestre. 8’30” également. 5,5, 1998 – Pierre Boulez – Chicago Symphony Orchestra No 1. Un lectuer m’a fait par de son ahurissement quand il a lu ma critique de l’enregistrement de Steinberg pour le 1er mouvement “Le meilleur interprète de Mahler, devant Walter, pour Anna Mahler”. 7,5, 1995 – Riccardo Chailly – Koninklijk Concertgebouworkest, Amsterdam 7,5, 2006 – David Zinman – Tonhalle Orchester Zürich J’ai quitté un récent concert de Roth avec son orchestre les Siècles : il donnait le 5e de Saint-Saëns et on n’entendait péniblement que 1 note sur 10 au piano… Ici on a un orchestre normal. C’est bien langsam Schleppend, mais c’est animé, splendides interventions instrumentales, cuivres vibrés, le seul à faire le hautbois pp avant 1, ambiance très pastorale, cymbale un peu envahissante à la fin. Une lecture plus atmosphérique que pénétrante. BR Klassik 900 143. Tout sonne un peu doucereux, les trompettes au loin, les cors avant le n°2 ; une lecture qui paraît bien extérieure. La prise de son manque de dynamique (nuances p à ppp), le tout manque de poésie et d’ambiance. 6,5, 1961 – Hans Rosbaud – Sinfonieorchester des Südwestfunks Baden-Baden Très belle version, bel équilibre orchestral, de l’atmosphère, de l’animation. 1961 Hans Rosbaud – Sinfonieorchester des Südwestfunks Baden-Baden Il y a longtemps que je ne l’avais écouté : tout me paraît génial : les phrasés, les contrastes, l’animation, les timbres, bref. 1974 Zubin Mehta – Israel Philharmonic Orchestra There are two problems that need to be overcome in presenting the 1893, five-movement version of Mahler’s First Symphony (here also billed as “Titan: Symphonic Poem in Two Parts”). Orchestre superbe, début très poétique, sans doute une des plus belles lectures orchestrales, mais cela manque tout de même d’engagement à mon goût. 2003 Gabriel Chmura – Narodowa Orkiestra Symfoniczna Polskiego Radia Katowice 1958 Adrian Boult – London Philharmonic Orchestra 7, 2007 – Bernard Haitink – Chicago Symphony Orchestra 9, 1969 – Jacha Horenstein – London symphony orchestra Ca s’éteint de plus en plus ensuite. Superbe plasticité des cordes, pas d’extrême grave. 9, 1958 – Adrian Boult – London Philharmonic Orchestra 2011 François-Xavier Roth – SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg 1998 Manfred Honeck – BBC Symphony Orchestra 2008 Marin Alsop – Baltimore Symphony Orchestra Orchestre correct, des lignes bien mises en valeur, mais c’est un peu bousculé. Ambiance, mystère au début, trompettes très lointaines, fin de l'”éveil” très poétique, très bel orchestre, le tout est peut être un peu lent mais se déroule dans l’évidence. Pas parce que c’est le plus bel orchestre, ni les meilleurs interprêtes (quoi que..), mais parce qu’Osawa insuffle une vie, un drame à son interprétation, qui sont absents chez la concurrence. Bavarian Radio Symphony Orchestra / Rafael Kubelík (DG) This distinguished coupling has already been available at bargain price so its appearance in The Originals livery comes as something of a surprise. Cors impossibles. 6, 1964 – Willem Van Otterloo – Wiener Festpiele Orchester 6, 1994 – Yuri Simonov – Royal Philharmonic Orchestra 4 – with an extra clarinet (also bass clarinet), a second horn and a trumpet in B flat. 13:45 PREVIEW Symphony No.1 In D Major : II. 1952 – Jasha Horenstein – Wiener Symphoniker 6, 2001 – Michael Tilson-Thomas – San Francisco Symphony 7,5, 2014 – Thomas Hengelbrock – NDR Sinfonieorchester Comment négliger la merveilleuse version Ancerl, certainement la plus poétique avec Kubelík, et dans ce cas, son orchestre est absolument parfait ! souvent haï dans ses dernières années par la critique française, notamment dans Mahler. “Ce n’est pas parce que l’on a consacré sa vie à compiler documents et témoignages sur Mahler que l’on est un bon critique (et inversement)”. A synoptic survey by Tony Duggan. Tempo lent, timbres peu définis, orchestre moyen (cors), version très placide. Tempo aussi lent que la précédente. Il respectait le “ziemlich langsam” at au n° 5. 2014 – Thomas Hengelbrock – NDR Sinfonieorchester. Ce n’est pas le grand luxe orchestral, quelques problèmes de balance, tout n’est pas parfait mais on a une véritable interprétation, de l’animation, une conception. 2007 Bernard Haitink – Chicago Symphony Orchestra C’est très neutre et un peu confus, atone également… 5,5, 1954 – Rafael Kubelík – Wiener Philharmoniker 2010 Georg Tintner – Canada National Youth Orchestrajo https://www.amazon.com/Mahler-Symphony-Bloch-Concerto-Grosso/dp/B000002SB0, En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées, Les transcriptions des Tableaux d’une exposition, La violoncelliste Lidy Blijdorp joue Ravel et Kodaly, Musique de chambre de Ravel par les solistes de l’Orchestre philharmonique de Berlin, Nicolas Baldeyrou joue Boulez, Jarrell et Mantovani, Partitions en libre accès – Free classical music scores. 1980 – Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks 2005 (?) 1967 – Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks HC, 1952 – Jasha Horenstein – Wiener Symphoniker Les vieux chefs d’orchestre russes ont souvent été injustement sous-estimés dans le répertoire austro-allemand (il a fait de superbes Brahms par exemple). 8’24”, mais on l’impression que c’est encore plus lent. Avec six versions de la Troisième Symphonie, Bernard Haitink détient le record d’enregistrements. 2002 Michael Gielen- SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg C’est sûr que la nature dort au début… Lecture sans relief. 1993 James Judd – Florida Philharmonic Orchestra Register now to continue reading Thank you for visiting Gramophone and making use of our archive of more than 50,000 expert … Mahler : Symphonie n° 1, « Titan ». Symphony No. 7,5, 1954 – Bruno Walter – New York Philharmonic Tout d’abord, ce que vous écrivez à propos d’Henry-Louis de La Grange, dà propos de l’enregistrement d’Eliahu Inbal : 2014 – Thomas Hengelbrock – NDR Sinfonieorchester Cette fois c’est vraiment trop lent : les lignes musicales ne tiennent presque plus. On a la beauté des phrasés (cordes ! 7, 2011 – François-Xavier Roth – SWR Sinfonieorchester Baden-Baden und Freiburg 1977 Klaus Tennstedt – London Philharmonic Orchestra Début bien sérieux, après le son sature. 7, 1983 – Arpad Joó – Amsterdams Philharmonisch Orkest Les vidéos existantes par les mêmes chefs mais pas forcément le même orchestre sont signalées par, 1939 – Bruno Walter – NBC Symphony Orchestra Livraison gratuite (voir cond.). Je recommande la pochette… On retrouve, avec peut-être un peu moins d’extrême qualité instrumentale, la version de 1962 avec Boston. Encore un tempo lent, manque de rythme d’animation et de second degré. 2008 Valery Gergiev – London Symphony Orchestra M. Prahy FOK 1958 – Adrian Boult – London Philharmonic Orchestra 1 has a larger orchestral structure and greater symphonic dimensions than his Symphony No. 4. 1977 Seiji Ozawa – Boston Symphony Orchestra 2006 David Zinman – Tonhalle Orchester Zürich 8, 2007 – Mariss Jansons – Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks A part Walter ou Kubelik, pas sûr de retrouver des phrasés aussi justement caractérisés. 2010 Preview SONG TIME Symphony No.1 In D Major : I. Langsam Schleppend. Tiré de Wikipédia, un passage de sa biographie : 7,5, 2009 – Gustavo Dudamel – Los Angeles Philharmonic Orchestra Tempo lent, ça manque de fil conducteur. Un critique a écrit récemment qu’il ferait mieux de se cantonner au répertoire baroque, wrong again… 8,5. Tempo lent, public très bruyant, quelques pains, encore un document, lecture plus dramatique que poétique. 20-11-1889 Mahler conducted the première of the five-movement version of the Symphony in Budapest. 6,5, 1961 – Bruno Walter – Columbia Symphony Orchestra Ca fait un peu démonstration orchestrale, mais c’est beau… 8, 1985 – Eliahu Inbal – Radio Sinfonie Orchester Frankfurt 1983 Arpad Joó – Amsterdams Philharmonisch Orkest Orchestre too much mellow? C’est la version mono de la BNF. En tous cas le son est très présent, on est dans la Herkulesaal, c’est instrumentalement idoine (les cors, les trompettes, le timbre chaleureux de la flûtiste Irena Grafenauer…), tout chante, tout est merveilleusement agencé, bref. Ce chef tchèque, assistant de Bernstein dans sa jeunesse est décédé en 1995. Bonjour, 10 by Gustav Mahler was written in the summer of 1910, and was his final composition. De l’allure, de la carrure, instrumentistes épatants, ici aussi un vrai chef. Manque un bon de rebond, mais le trio est délicieusement viennois. Son très présent. 6,5, 2008 – Valery Gergiev – London Symphony Orchestra 1952 Jasha Horenstein – Wiener Symphoniker 1967 Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks 8,5, 1997 – Christoph Eschenbach – Houston Symphony Orchestra 1989 Emil Tabakov – Sofia Philharmonic Orchestra Commentaire document.getElementById("comment").setAttribute( "id", "a88f2dd86efbfe177eb0a76badeaec57" );document.getElementById("e6c2291b79").setAttribute( "id", "comment" ); Prévenez-moi de tous les nouveaux commentaires par e-mail. C’est très lent, ça ne fonctionne pas, le grand vide interprétatif, la fin est dopée au potentiomètre. 8,5, 1954 – Hermann Scherchen – Philharmonic Symphony Orchestra of London Encore un orchestre magnifique (cors ! Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Une bonne version, mais qui manque un peu de tesnion et de relief. On dirait de la guimauve. C’est encore très rapide, contrebasse fausse. Très belle introduction. On a l’impression d’entendre plusieurs contrebasses au début.. Une bonne lecture, mais guère prenante. 2010 Vladimir Jurowski – London Philharmonic Orchestra 1954 – Rafael Kubelík – Wiener Philharmoniker 7, 2003 – Gerard Schwarz – Royal Liverpool Philharmonic Orchestra Grand son, beaucoup de puissance, plus de 65 ans plus tard, toujours une des meilleures versions ! 8,5, 1995 – Riccardo Chailly – Koninklijk Concertgebouworkest, Amsterdam En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées, Les transcriptions des Tableaux d’une exposition, La violoncelliste Lidy Blijdorp joue Ravel et Kodaly, Musique de chambre de Ravel par les solistes de l’Orchestre philharmonique de Berlin, Nicolas Baldeyrou joue Boulez, Jarrell et Mantovani, Partitions en libre accès – Free classical music scores. 7,5, 1998 – Manfred Honeck – BBC Symphony Orchestra Tempo encore plus lent que les deux précédents, trompettes trop lointaines, le tempo ralentit encore à partir du 3. Lecture propre, ça déroule tranquillement. C’est très réussi, et vraiment différent de ce que l’on peut entendre de nos jours. 1 was composed while he was working as second conductor at the Leipzig City Theatre where he worked from August 1886 to May 1888. 7,5, 1951 – Dimitri Mitropoulos – New York Philharmonic 1988 Zdenek Kosler – Slovakia Philharmonic Orchestra 7,5, 1989 – Giuseppe Sinopoli – Philharmonia Orchestra J’arrête de suite, mais cela permet d’apprécier a contrario la qualité des autres orchestres ! 1961 Paul Kletzki – Wiener Philharmoniker Malheureusement juste 1 mn de disponible sur Qobuz…, 2011 – Lorin Maazel – Philharmonia Orchestra Cela a le mérite d’être original, mais c’est parfois un peu limite et le trio devient un non sens. 8, 1995 – Riccardo Chailly – Koninklijk Concertgebouworkest, Amsterdam 2007 Mariss Jansons – Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks Mais on ne se sent guère concerné. Une lecture un peu distante et qui manque de rythme. Le lecteur -moi en l’occurence – avait signalé l’appréciation d’Anna Mahler, fille du compositeur, et non d’Alma Mahler, femme du compositeur, quant aux vertus de Steinberg -qui était, au demeurant, un ami des deux femmes-. 5, 1954 – Paul Kletzki – Israel Philharmonic Orchestra 8,5. Prise de son catastrophique de ce live, saturations, timbres grossis. Symphony No. Mahler a 28 ans. 1995 – Riccardo Chailly – Koninklijk Concertgebouworkest, Amsterdam Les symphonies de Gustav Mahler sont un ensemble de dix œuvres symphoniques numérotées de 1 à 10 (s'ajoute selon les sources le Chant de la Terre) dont les compositions se répartissent entre 1888 et 1910.Sa dixième symphonie demeure inachevée, seul le premier mouvement étant terminé. Tempo très lent., bois superbes, belle construction, fini orchestral, quelques foucades. 1979 Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks Tout sonne parfait, les dynamiques, l’allant général, seules les flûtes sont un peu désavantagées par la prise de son. Il l’avait faite plusieurs fois à Amsterdam et Chicago auparavant. 1951 Dimitri Mitropoulos – New York Philharmonic Quand je dis à des compositeurs qui ont collaboré avec eux que je n’ai jamais rien entendu de saillant par Chung par exemple, ils me regardent de travers… D’immenses musiciens pour sûr, mais bon… Mahler – Symphonie n°1 – Écoutes comparées On reste toujours attaché à cette symphonie : malgré ses ficelles, sa fraîcheur étonne toujours et surtout captive. 7,5, 2007 – Mariss Jansons – Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks La préparation du climax est très originale, qui s’appuie sur les basses de l’orchestre, mais le tout manque à la fois d’ambiances et de panache, malgré une fin très échevelée. Vous aussi participez à la Tribune des critiques de disques ! 1967 – Rafael Kubelik – Symphonie-Orchester des Bayerischen Rundfunks Cors magnifiques, beau début, mais ensuite ça manque d’accentuation et ennuie fortement (mais c’est décidément une habitude avec ce chef). 10 ans après la version DG, il la refaisait pour Philips.